Pré
Deny
Propières
Situé
au sud de Cul
du Loup,
entre le village Botton
et Bois
Botton.
Deny
est le nom du propriétaire. En 1503 est cité un
Antoine
Denis
au sujet de redevances qu'il doit au seigneur de Propières
(Comby, p.75) ; d'autre membres de cette famille sont cités
tout au long du XVI° siècle (Comby, pp.109, 110). Ces
Denis
ont laissé leur nom à ce pré qui faisait
partie de leur propriété pour laquelle ils payaient
ces redevances. Aujourd'hui des familles Denis
sont attestées à Monsol, Les Ardillats et Chauffailles.
Voir
Deny.
Quartier
Blanc (Le -)
Propières
Le
Quartier Blanc
est le nom donné au quartier du bourg de Propières
qui apparaît sous le nom de Maisons
Foussemagne
sur le cadastre de 1825 (parcelles 38, 39, 40). Ce quartier était
situé au nord du lieu La
Broussailles (sic)
qui apparaît sur le même cadastre. Selon l'abbé
Comby (p. 208) « la
famille Foussemagne est l'une de celles de Propières le
plus anciennement connue.
». En 1402 il est fait mention d'un Guillaume Foucimagne
de Propières et au XVIII°siècle de nombreux
Foussemagne
habitent au bourg de Propières. On peut penser que ces
Maisons
Foussemagne
(ou cette Maison
Foussemagne)
leur appartenaient ; à ne pas confondre avec En
Foussemagne,
à l'est des Cadolles, d'où cette famille a tiré
son nom.
Quelle
est l'origine de cette dénomination « Quartier
Blanc
» ? Deux hypothèses peuvent être considérées
:
1.-
Quartier
Blanc
pourrait faire allusion au blanchiment du fil de chanvre avant
le tissage ; l'une des méthodes consistait à laver
la filasse jaunâtre dans une cuve emplie de cendres, puis
à étaler le fil dans les prés au soleil,
méthode que les lingères connaissent bien : il est
possible que les anciens prés de ce quartier aient servi
à cette méthode de blanchiment du chanvre qui était
cultivé près de ce quartier. Pierre Longère
se souvient en effet d'une vieille carte antérieure à
la construction de maisons au Quartier
blanc
: le lieu-dit situé au-dessous de la maison Longère
et du Quartier Blanc s'appelait la Chenevrière,
autrement dit le champ où l'on cultivait le chanvre. D'ailleurs
Madame Odette Gelet me confirme qu'on tissait le chanvre dans
ce quartier. Cette hypothèse d'appellation métaphorique
Quartier
blanc
peut donc trouver son origine dans le blanchiment du chanvre.
Mme
O.Gelet me précise par ailleurs que la maison Lamure actuelle
dans le quartier aurait été destinée à
être une usine pour la confection de la singalette ou mousseline
de coton. Cette confection de mousseline de coton aurait pu également
jouer un rôle dans l'appellation de ce quartier.
2.-
On peut considérer une seconde hypothèse qui est
peut-être la plus sérieuse : Quartier
Blanc
pourrait être lié à l'histoire de Propières
durant et après la Révolution. N'oublions pas que
ce Quartier
Blanc
n'est pas isolé ; il rappelle le fameux Quartier
Blanc d'Ainay,
sur la presqu'île à Lyon. Ce Quartier
Blanc
lyonnais doit son nom aux Blancs légitimistes qui ont longtemps
habité ce quartier aristocratique ; le Quartier
Blanc
de Propières pourrait très bien être une copie
de celui de Lyon : il faudrait alors prouver qu'à
Propières ce quartier fut habité par des familles
politiquement liées à l'aristocratie légitimiste,
des Blancs,
ou simplement opposées aux outrances révolutionnaires
et de ce fait affublées du titre de Blancs.
Effectivement il y avait à Propières, selon l'abbé
Comby, un Comité révolutionnaire, dit «Comité
de Propières», dirigé par un certain Louis
Claude Longin, originaire de Belleroche ; Comby tient à
préciser que ce Comité évita les outrances,
son chef n'étant pas un agitateur. Cette sage attitude
du Comité est vraisemblablement liée à la
présence de familles opposées aux outrances révolutionnaires.
Les Foussemagne étaient peut-être de celles-là
: les Foussemagne étaient de riches propriétaires
et on ne soulignera jamais assez que si Jean Claude Foussemagne
fut maire de Propières, il n'en fut que le 3ième
maire, en 1796, après la chute de Robespierre, à
une époque d'accalmie consécutive aux décrets
de la Convention ; on pouvait donc voir en lui un homme politique
attaché à l'ordre. Peu à peu, au cours du
XIX° siècle, ceux qui étaient restés
attachés aux pures idées révolutionnaires
auraient pu, dans leur intransigeance, traiter de Blancs
ceux qui étaient susceptibles d'émettre quelque
critique à leur égard ; les Foussemagne, ou d'autres
familles de ce quartier, auraient pu alors être affublés
de l'étiquette de Blancs
qu'ils ne méritaient pas, du moins en son sens premier
: le quartier des Maisons
Foussemagne
avait tout loisir de prendre ensuite le nom bien connu à
Lyon de Quartier
Blanc.
Cette
dernière hypothèse semble être confirmée
par le fait suivant: aujourd'hui encore le Quartier Blanc se nomme
le Petit
Côté,
par opposition au Grand
Côté,
qui lui est opposé; on dit que le Grand Côté
était celui des républicains et le Petit Côté
celui des “cagots”; on peut voir là et le reliquat
de l'ancienne opposition entre ces deux quartiers et l'origine
de Quartier Blanc...Comme Lyon, Propières avait donc aussi
son Quartier
Blanc
!
Voir
Foussemagne.
Ravirieux
(En -)
Propières
1738
: Raverioux.
Lieu-dit
cité dans le cadastre de 1825, situé au sud du Bois
de la Farge,
à l'est de La
Combe.
Ce nom est un dérivé de ravière
qui est un champ où l'on cultive les raves. On rencontre
à Semur-en-Brionnais et à Melay des lieux-dits Raverie
et Raverys
avec la même signification. La forme originelle était
Rapiriacum
avec le suffixe acum
qui aboutit à ac
dans le Midi (Florac)
à y
(Fleury)
ou é
(Fleuré)
en langue d'oïl et à ieux
en franco-provençal (Fleurieux).
Ce suffixe acum
est un suffixe d'occupation qui indique que le domaine est occupé
par le personnage dont le nom précède ou par une
culture quelconque, ici la culture des raves (Les
Raverys,
Ravirieux).
Rocharrière
[rotcharire]
Propières
1825
: Le
Plantier.
Lieu-dit
situé entre les Jolivets
et La
Farge,
à la limite du Bois
de La Farge.
Je reprendrai ici l'explication donnée par un membre de
l'association de Propières : «Nom donné par
la famille Loreton Dumontet constructeur de la maison bourgeoise».
Ce nom est une contraction interprétative de Roche
Charrière,
ancienne dénomination du lieu-dit; cette personne ajoute
en effet : « Il existe une roche en
arrière
de la maison , lieu-dit Roche
Charrière
». Mais que signifie cette Roche
Charrière
? La charrière, nom très fréquent dans les
lieux-dits, la tsarrire
dans nos parlers locaux, est un chemin charretier dans les bois
où les chars ont laissé leurs traces. La Roche
Charrière
est une roche en longueur, à l'arrière de la maison
; cette roche longe précisément une charrière
qui contourne la maison et se prolonge dans les bois vers le nord
: la Roche Charrière est donc la Roche de la Charrière.
Le
Plantier
de 1825 désigne un autre lieu proche où avaient
été effectuées de jeunes plantations de vignes.
Ruère
Azolette
1503
: Royre
(dans le patronyme Pierre
de Royre).
1573 : Ruyre.
1734 : Ruire.
Ruère
est composé d'une racine ru,
suivie du suffixe collectif ère;
on pourrait alors penser que Ruère
désigne
un lieu baigné par de nombreux ruisseaux, ce qui n'est
pas le cas. Cette racine ru,
ici,
est dérivée du latin rudis,
grossier
; le pluriel rudes
désignait
à l'époque gallo-romaine des friches broussailleuses
; cette racine est suivie du suffixe collectif ère,
très fréquent (ainsi dans Bruyère,
Molière, Nivières, Propières, Verchère…).
La Ruère
aurait donc désigné jadis une terre envahie de broussailles.
On rencontre en Brionnais les lieux-dits Les
Rues
à Colombier, Fleury-la-Montagne et Oyé avec la même
signification. Le nom Ruère
est relativement fréquent dans des lieux-dits dépourvus
de ruisseaux, notamment en Mâconnais. On a également
Ruyère
sur la commune de Monsols.
Sagnaux
(Les -)
Propières
Voir
Seignes
(Les -).
Seignes
(Les -)
Propières
Ce
nom est issu du gaulois sania,
le terrain boueux et marécageux, qui est également
à l'origine des mots dialectaux sagni
en Brionnais et ségné
en Haut Sornin qui désignent le parc à cochons.
Les
Seignes
sont surtout attestées en Brionnais de l'est et bien sûr
en Haut Sornin. Les Sagnaux
est une forme diminutive équivalente aux Seignets
que l'on trouve à Anglure.
Sornin
(Vallon du -)
Propières
879
: Sorna,
Sonna, Somna.
À
l'époque germanique, les noms de rivières terminés
en a,
ont été modifiés à l'aide du suffixe
complément féminin ane.
Étant donné que ane
était devenu ain,
in,
an,
les noms de rivière féminins sont devenus masculins.
C'est ainsi que cette rivière, dont l'une des formes de
879 est Sorna,
est devenue le Sornin,
que la Cosa
de 1147 est devenue le Cousin,
etc. Cette hypothèse a été reprise par G.Taverdet.
Elle est très plausible. Mais cela ne nous donne pas l'explication
de la forme originelle Sorna;
Sonna
n'étant qu'une dérivation seconde par simplification
du groupe de consonnes rn
(simplification
dite assimilation de consonnes).
L'explication
la plus plausible permet de voir l'origine de Sornin dans la racine
préceltique *sor,
*sr,
couler,
que l'on retrouve en gaulois dans sruta,
le
torrent.
A cette racine *sr
a été ajouté le suffixe ona,
propre au gaulois. C'est ce suffixe ona
que l'on rencontre fréquemment dans les noms de fleuves:
Mayronnes,
Maronne,
dérivés du gaulois, etc. On obtient ainsi sr+ona
;
mais sr+ona
deviendra sorna,
afin de faciliter la prononciation de
sr ;
on rencontre une formation analogue dans le nom du fleuve Sarno
en Italie. Cette explication a le mérite d'expliquer et
la forme de Sorne
près de Lons-le-Saunier et celle de Sornin
qui provient de sorna
complétée par le suffixe complément d'origine
germanique ain,
in
dont
j'ai parlé plus haut.
Terres
d'Été
Azolette
Les
Terres
d'été
sont des terres de pâturage pour la saison d'été,
que l'on rencontre sous la forme Les
Etiveaux
à Matour.
Terres
Plates
Propières
Situées
immédiatement au nord d'Azole, les Terres
Plates
font allusion à la configuration du terrain par opposition
au relief accidenté des environs.
Théodon
Propières
Ce
nom, est dérivé du germanique Theoldus,
attesté au X° siècle, lui-même issu de
theuda,
le
peuple.
L'ancienne appellation de ce lieu, Mas
Théodon,
laisse entendre qu'il s'agit d'un ancien manse.
Voir
Magny.
Torrichon
Azolette
Situé
entre Le Chaumont et le bourg d'Azolette, Le
Torrichon
est une forme diminutive apparentée à Torail
que l'on rencontre à Chassigny-sous-Dun et au Bois-Sainte-Marie.
Les Torailles
étaient des levées de terre destinées à
séparer deux propriétés. Le
Torrichon
et les Torails
dérivent d'une racine préceltique *taur
que l'on retrouve dans les Monts
Taurus
d'Anatolie ; ce qui laisse supposer qu'il s'agit d'une racine
importée par les Néolithiques, précisément
originaires de cette région, aux alentours du quatrième
millénaire avant J.C.
Cette
racine est à l'origine des nombreux Teureaux
et Tauraulx
qui, en Brionnais, désignent des collines.
Trève
Sapaly
Propières
1825
:
Trève Sapaly.
Trève
Sapaly
est situé à l'est du Bois d'Ajoux. Sapaly
est une forme dérivée de sappo,
racine gauloise du sapin ; Sapaly
désignait une sapinière.
Pour le sens et l'origine de Trève,
voir Trèves
(Les-).
Trèves
(Les -)
Saint
Germain-la-Montagne
Lieu-dit
situé sur la commune de Saint-Germain-la-Montagne, limitrophe
de la limite occidentale de la commune d'Azolette. Le trève
est dérivé du latin trivium
qui désigne un carrefour à trois voies. Les
Trèves
se situent effectivement à un carrefour important de trois
voies ; ce carrefour à l'origine était certainement
nommé Le
Trève
; Les
Trèves
au pluriel représentent une forme seconde donnée
à une époque où l'on a compris trève
comme l'indication de l'une des voies du carrefour. On rencontre
également ce nom de lieu-dit sur Propières dans
Trève
du Bois d'Aujoux,
près des Cadolles et Trève
Sapaly
dans le Bois d'Aujoux. Cette racine est aussi à l'origine
de Trivy.
Voir
Trève
Sapaly.
Verbin
Propières,
Saint-Clément-de-Vers
Voir
Madone-de-Verbin.
Verchères
(les -)
Azolette
Voir
Grandes
Verchères.
Vermorel
(Le -)
[chi
vremoré]
Propières
1825
: Vermorel.
Nom
de famille connu à Propières ; plusieurs Vermorel
apparaissent dès 1574 dans la liste des habitants de Propières
qui doivent payer des redevances au seigneur de Propières
(Comby, p.109). Cette famille a donné son nom au lieu-dit
Le
Vermorel.
Morel
est un nom de famille très répandu qui a la même
origine et la même signification que Moreau,
l'homme
à la peau sombre.
Vermorel
serait donc originellement Vers
Morel,
autrement dit Chez
Morel.
Dans la forme dialectale chi
Vremorè,
'chez'
répète en réalité l'ancien Vers
(forme dialectale Vé)
qui n'est plus perçu comme élément indépendant.
Verpuits
Azolette
1621
: Verpuis
; 1825 : Hameau
du Puits.
Situé
près du Village
Murard.
A l'origine Vers
Puits
indiquait la direction, ici vers
le hameau du Puits ;
ensuite Vers
s'est
intégré au nom Puits
pour
former l'appellation actuelle; devant un patronyme, il est usité
dans le sens de chez.
Ce
hameau pourrait devoir son nom à un puits ou à un
point d'eau qui aurait alimenté les fermes alentour, un
puits ou point d'eau précieux à une époque
où l'eau captée et potable était rare ; le
puits
pourrait également être une métaphore pour
désigner le crous
ou creux profond qui continue le hameau vers le sud.
L'hypothèse
la plus probable cependant est la parenté avec Puy,
dérivé du latin podium
qui
désigne la hauteur.
L'orthographe Puits
est une réinterprétation populaire à une
époque où l'on n'a plus compris l'origine de ce
nom. Ce genre de confusion est très fréquent. Mais
Puis,
dans
l'ancienne forme Verpuis,
rappelle la graphie d'Amplepuis
dont puis
est précisément un dérivé de podium,
la hauteur.
Le Puy
en
question ici est la hauteur qui s'élève à
622m. au-dessus du hameau au nord. Verpuits
serait donc le hameau vers la hauteur.
Voir
Vermorel,
Peuillon.
Viers
(Les)
Azolette
Sur
le cadastre de 1825.
En
relation avec la jachère on trouve Les
Viers
(Azolette). Ce nom est une variante de viard
ou viarre
qui, dans les parlers du Mâconnais et du Charolais du sud
(Matour), désignent une terre essartée ou mise en
culture de façon intermittente ; on retrouve ce terme sous
la forme vierre
(la
vierre)
en Beaujolais où, selon Lachiver, il désignait «
une
culture de deux années alternant avec une jachère
de six à huit ans
». Ce nom dérive du latin (cultura)
vicaria,
(culture) qui
prend la place d'autre chose,
cette autre chose étant dans le cas précis la jachère.
Zachères
(Les -)
Propières
Situées
entre La
Chirette
et Théodon.
Il faut lire Les
Achères.
La forme Zachères
provient d'une fausse coupure entre l'article et le nom (voir
à ce sujet sous Écharmaux).
L'Achère
est une variante de achier
qui, en ancien français au XIII° siècle, désignait
un essaim ou une ruche. Achier
est dérivé du latin apiarium,
lui-même issu de apis,
l'abeille ou motse
à myé.
Les Achères
sont alors des essaims (ou èssè)
ou des ruches (ou rutse)
et font allusion à un lieu d'élevage des abeilles.
RÉFÉRENCES
Bonin
Marcel,
Noms
de lieux en Bourbonnais,
de Borée, Romagnat, 2006.
Comby
Auguste (Abbé --), Dictionnaire
du patois de Belleroche (Loire),
documents publiés par Claude Michel, ABDO, Dijon 1994.
Comby
Auguste (Abbé --),
Histoire
de Propières, 1942,
publié par "Association Patrimoine en Haut Sornin",
Imprimerie clayettoise, 2011.
Dauzat
Albert,
La
toponymie française,
Payot, Paris, 1960.
Dauzat
Albert et Rostaing Charles,
Dictionnaire
étymologique de noms de lieux en France,
Larousse, Paris, 1963.
Déléage
André,
La
vie économique et sociale de la Bourgogne dans le Haut
Moyen Age,
Thèse, Protat, Mâcon, 1941.
Duby
Georges,
Qu'est-ce
que la société féodale,
Flammarion, Paris, 2002.
Lachiver
Marcel,
Dictionnaire
du monde rural,
Fayard, Paris, 1997.
Le
Goff Jacques, La
civilisation de l'Occident médiéval, Arthaud,
Paris, 1964.
Morlet
Marie Thérèse, Les
noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule du VI°
au XII° siècle,
CNRS, Paris, 1968.
Mortamet
Jean, L'histoire
du Haut Sornin in
"Patrimoine en Haut-Sornin".
Rossi
Mario,
Dictionnaire
étymologique et ethnologique des parlers brionnais,
Publibook, Paris, 2004.
Rossi
Mario,
Les
noms de lieux du Brionnais-Charolais, témoins de l'histoire
du peuplement et du paysage,
Publibook, Paris, 2009.
Rossi
Mario,
Mont
Saint Rigaud
in "Patrimoine en Haut-Sornin", 2013.
Rousselle
Bruno, Aperçu
de la géologie en Haut-Sornin,
in “Patrimoine en Haut Sornin”.
Taverdet
Gérard,
Les
patois de Saône-et-Loire,
ABDO, Dijon, 1980.
Taverdet
Gérard,
Les
noms de lieux de la Loire,
ABDO, Dijon, 1985.
Taverdet
Gérard,
Les
noms de lieux du Rhône,
ABDO, Dijon, 1987.
Taverdet
Gérard,
Noms
de lieux de Bourgogne,
Éditions Bonneton, Paris, 1994.